Fruit-Sauvage

Les jours sombres d’absence ne sont qu’un devoir Inné, prudent, où traînent de rouges épis Excellence soutenue, après l’au revoir Non loin où le chagrin s’efface dans la pluie Rêvons de futures années, tissées de joie Éclairées de rires, vivantes de tendresse Temps précieux, le bleu ciel aime lacer nos doigts Adoucis, détendus de soie enchanteresse Brodés de cette passion, réaliste à nous Là où attentes et espoirs défieront tout Ici le soleil ravive nos aspects doux

Comme tous les matins depuis que je la connais, je me réveille lentement, constatant avec joie que Gwenaëlle est toujours là, à mes côtés. Qu’elle n’est ni un rêve, ni le fruit de mon imagination. Étrange que mes peurs ne se soit pas estompées avec le temps, qu’une part de moi soit toujours convaincue que Gwen n’est que le fruit de mon désir d’être aimé, de mon désir d’avoir un peu de compagnie dans la vie.   Il faut avouer que notre relation est… Comment dire… Un peu particulière ? Voyez-vous, Gwenaëlle est une succube.

Deuxième tour du tournoi J’avais pris du repos, mais j’étais encore secoué, à tel point que je ne pensais pas à aller voir les combats du tournoi pour observer leurs techniques de combat. Tout à coup, j’entendis, par les hauts parleurs que c’était à nouveau mon tour de combattre. Je me dirigeai donc vers l’arène et je vis un C.U.B.E violet en face de moi. Je le reconnus, il se battait dans la zone d’entrainement quand j’étais passé. Je me mis en position et je le regardait, son armure semblait n’offrir aucune prise au vent et semblait parfa

Jolie inconnue de cette soirée d’été, au bord de la Garonne. Je te crains, et tu me fascines. C’est comme s’il y avait un peu de moi dans ton regard, un peu de moi dans ces yeux si clairs. C’était une longue journée. Une réunion de travail avec des pontes, un rendez-vous chez le médecin, du boulot à la maison… Et il restait encore cette séance plénière. J’étais fatigué, je m’attendais encore à une de ces rencontres interminables entre costards-cravates dans une salle close, où tout le monde allait débattre pendant trois h

SOURCE UNIDENT_F??? WARNING : FLAG DATA CORRUPTION WARNING : UNACCURATE RECORD DATA WARNING : CHECKSUM MISSING _ENGLISH_ENTRY_HOLDER What’s pretty admirable about this Strifer is that it will never let me die. I’m even starting to wonder how the heck previous prisoners could die. I lost my leg, and the system already began to re-synthetize it. However, what really bugs me the most isn’t that the exoskeleton is able to do such things, but that it does it seemingly without any other resources than my own body and surrounding air. Well, I should have missed a couple of centuries of technological advancement… In the end,

Oh ! Voilà que la nuit est claire Et que les gens sont heureux Pendant que luit l'astre lunaire Et que le public est nombreux Je vous conterai avec faste La Balade des Rois des Astres Contes, légendes débutèrent À l'instant où le peuple à corne Maudit, fut transformé en pierre Chassant la princesse licorne Elle écuma seule les terres Cherchant contre ce maléfice Ce qui le rendra éphémère Et mettra fin à ce supplice Elle rencontra durant cette ère L'esseulé et devin dragon Maudit par ce qu'ils révèlèrent Être son bien étrange don Ensemb

Thalassa regardait fièrement la mer des nuages être fendue par la coque de son navire. Le fier vaisseau, ouvrage de centaine d’ouvrier de son peuple, était ce qui leur permettait d’aller plus loin à travers l’immensité du vide. Il y a des siècles, ils avaient été abandonnés ici par le peuple qui les employait comme colons. La planète, avait été déclaré comme non-viable par le sénat solaire, et ce après trente ans de colonisation, et malgré les dizaines de milliers d’habitants qui y vivaient déjà. Et les quelques humains et z

Sous terre s’étendent les racines de l'arbre sacré Symbole de mystère, de vice et de pureté Sous l'arbre, la vie s'empresse de le faire grandir Le temps quand à lui s’éternise à le faire mourir Sous la cime de cet être majestueux qui rayonne Le soleil anime la faune qui papillonne Sous la voûte céleste, la nuit parfois, glacée Les petits êtres y viennent se réfugier Oh grand arbre sacré et millénaire Qui de tes milles branches te donne l'allure d'un cerf Laisse moi rien qu'une dernière fois te contempler Afin de réapprendre à vivre et